Titre :
E3, Exposition – Expérience - Existence, étudiant(e)s de 1ère année (2018-19) de l’École des Beaux-arts de Versailles.

Exposition présentant le résultat du workshop développé par Frédéric Vincent avec les étudiants de première année du cursus supérieur (2018-19) de l’École des Beaux-arts de Versailles.

Artistes :
Estelle Amiot, Nour Asran Mahmoud, Naomi Botta, Lucille Brosselard, Seon-Hee Choi, Meryem Dogan, Clarke Drahce, Chrystel Dye-Grimaud, Laura Guérin, Soo-Yeon Heo, Hee Ju Hong, Junhyuk Im, Han Jeong, Seoyoung Kang, Anne-Sophie Larcena, Inès Lécurier, Jonggyu Lee, Yoonkyung Lee, Song-I Lim, Wen-Hsuan Lin, Jingyu Liu, Elena Milova, Nuno Filipe, Oliveira Lima, Élodie Picot, Sébastien Ravonneau, Alexander Rybin, Gabriel Salivas, Libai Yang, Gee Hyee Yoon, Xuxuan Zhang, Jialei Zhao.
Commissaire :
Frédéric Vincent
Dates :
du 28 mars au 4 avril 2019
Vernissage :
Le jeudi 28 mars, de 18h à 21h.

L’École des Beaux-arts de Versailles invite Frédéric Vincent à développer un workshop avec les étudiants de première année du cursus supérieur (2018-19). Frédéric Vincent est artiste, commissaire d’exposition, codirecteur du centre d’art Immanence, diplômé de l’École nationale supérieure des Beaux-arts de Paris et docteur en Arts et Sciences de l’art à la Sorbonne. Trente et un étudiants de tous âges et de diverses nationalités constituent un groupe hétérogène. Le postulat de départ est de travailler sur trois termes : Exposition, Expérience, Existence (EEE).
Ici ces trois termes prennent tous leurs sens : il s’agit de rendre public le fruit des recherches des étudiants (exposition), de faire part de leurs connaissances empiriques (expérience) et de leur donner une réalité (existence). La création, l’élaboration d’une exposition sont une manière de rendre visibles ses recherches, d’être en accord avec ses préoccupations. La création d’un environnement permettra une approche sémantique des œuvres.
Cette exposition comme fruit de recherches constitue le résultat d’exploration des expériences et de l’existence de chacun. Elle fait apparaître des préoccupations autour de la forme, du corps et de la société, qui sont en phase avec les questions d’urgence climatique, de crise environnementale. Les étudiants de 1e année du cursus supérieur de l’École des Beaux-arts de Versailles interrogent la capacité de chacun à inventer ou réinventer sa relation à l’art, au corps et à la société.